lundi 24 septembre 2012

Le 1er Octobre, les élus du Comité d’Etablissement OTIS de la région SUD sont invités à participer au C.E. extraordinaire pour donner un avis en vue du licenciement d’Eric BLASQUEZ, Délégué Syndical CGT Sud (également membre du CE et du CHSCT).  

Pour quelle raison ?  

Celle d’être au mauvais endroit au mauvais moment.     

Si ce n’est d’avoir fait « Une Remontée d’Incident » auprès de sa hiérarchie  sur un appareil remis en service la veille (après travaux) et dont le moteur s’est renversé au sol lors de son fonctionnement. Ainsi, on lui reproche d’avoir négligé 2 règles cardinales de sécurité lors de son intervention.  Des accusations infondées, contredites par Eric lors de l’entretien préalable en vue de sanction disciplinaire. 

Nous,  salariés d’Otis, nous ne pouvons pas tolérer qu’un de nos collègue de travail soit victime d’un tel acharnement après avoir remonté un incident qui aurait pu lui couter la vie ou celle d’un autre.

Aujourd’hui c’est Eric, demain ce pourrait-être n’importe lequel d’entre nous !

Mais,  que se cache t-il derrière  cette attaque brutale ? Ses mandats syndicaux ?

Il est certain qu’il dérange la direction, par son engagement d’élu au service de la  défense des salariés…Il en a déjà fait les frais.  Mais son engagement militant  en faveur des salariés prend tout son sens lorsqu’il  s’investit au plus prés des siens pour que l’entreprise respecte les droits de chaque femme et homme de l’entreprise à sa juste valeur.   

Nous savons tous que lorsque le patron s’en prend aussi brutalement à un syndicaliste c’est pour mieux bafouer les droits des salariés…

Aujourd’hui, son avenir est dans l’attente d’un licenciement,
NOUS, VOUS, ENSEMBLE, pouvons encore faire changer le cours de sa situation.

Signez la pétition proposée par les Organisations Syndicales qui le soutiennent et l’accompagnent dans son combat de justice.

Nous, salariés de l’entreprise OTIS France,  refusons qu’ Eric BLASQUEZ soit le bouc émissaire des négligences en termes de sécurité de l’entreprise.  

C’est pour cela que nous nous opposons à  son licenciement.

NOM / PRENOM
AGENCE
SIGNATURE




















































 Faites remonter la pétition a votre élu local par mail ou lettre ou à l'adresse : c.simon-labric@laposte.net

Aucun commentaire: