Objectifs
croissants, rémunérations en dessous de leurs qualifications et de leur
temps de travail, non prise en compte de leur avis dans les processus
de décision : les cadres sont sous pression alors que leur apport au
travail est essentiel pour sortir de la crise.
Découvrez et contribuez à notre nouvelle campagne choc pour inciter les cadres à réagir face à la violence du management financier.
Pour la première fois, nous allons nous adresser aux cadres par voie publicitaire pour prolonger l’action syndicale traditionnelle. Nous avons conçu une campagne destinée à être diffusée dans les titres de presse magazine et quotidienne lus par les cadres.
Avec votre contribution, nous pouvons utiliser la force du nombre pour nous faire entendre et ne pas laisser les espaces médiatiques aux mains des seules entreprises ou institutions.
Découvrez et contribuez à notre nouvelle campagne choc pour inciter les cadres à réagir face à la violence du management financier.
Pour la première fois, nous allons nous adresser aux cadres par voie publicitaire pour prolonger l’action syndicale traditionnelle. Nous avons conçu une campagne destinée à être diffusée dans les titres de presse magazine et quotidienne lus par les cadres.
Avec votre contribution, nous pouvons utiliser la force du nombre pour nous faire entendre et ne pas laisser les espaces médiatiques aux mains des seules entreprises ou institutions.
Une campagne choc
La campagne est sobre et directe, composée de constats violents qui reflètent le vécu et le ressenti des cadres.
Chaque contribution, aussi modeste soit elle, contribuera à augmenter sa force de frappe auprès de la population cadre.
Les cadres pris entre le marteau et l’enclume
En cette période de crise, les employeurs exercent en effet sur eux une pression de plus en plus forte. On leur demande aujourd’hui d’atteindre des objectifs de rendements croissants, de relayer des décisions destructrices sur le plan économique et humain, d’être hautement qualifiés mais d’accepter des rémunérations basses, et le tout sans compter les heures.En 2012, 57% des cadres déclaraient qu’au vu du contexte économique leur entreprise ferait mieux de donner la priorité aux salariés (contre seulement 3% aux actionnaires). Et ils sont 83% à affirmer que les pratiques managériales de leur entreprise ne se sont pas améliorées dans ce sens et qu’elles se sont même détériorées.
Dans le même temps, entre 40 et 50% des cadres interrogés jugent désormais que leur rémunération n’est à la hauteur ni de leur qualification, ni leur temps de travail réel, ni leur charge de travail ou de leur implication. (source)
Par ailleurs, 65% des cadres ne s’estiment « pas ou pas vraiment » associés aux choix stratégiques de leur entreprise.
Or, l’encadrement est un des atouts majeurs dont dispose notre pays pour sortir de la crise économique et du management financier. L’économie a besoin de la contribution des cadres au collectif de travail et de leur participation au syndicalisme.
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