La
CGT a apporté vendredi son soutien au Syndicat de la magistrature après
le tollé suscité par un « mur des cons » dans le local de ce syndicat
où figurent des portraits de personnalités, estimant que « l'action et
la pensée syndicale ne peuvent être criminalisées en démocratie ».
«
Depuis deux jours, le courroux politico-médiatique s'est abattu sans
relâche sur nos camarades du Syndicat de la magistrature. Les raisons
invoquées sont disproportionnées et délirantes », affirme dans un
communiqué la CGT.
« Les déchaînés du mur des cons et leurs partenaires leur reprochent donc d'avoir acté leur liberté de penser syndicale, leur liberté de penser le fait et l'individu politique avec humour dans un local privé ! N'a-t-on donc plus le droit en France d'avoir de l'humour ? », demande la CGT.
« Après la criminalisation de l'action syndicale, après le rejet inacceptable du texte d'amnistie, nous sommes contraints de constater que la liberté de penser dans un lieu privé devient criminel », affirme la CGT. En revanche, la CGT estime que « les propos et discours homophobes entendus ces derniers temps, les appels indirects à la haine ou les menaces de guerre civile de la part de responsables politiques, associatifs, religieux ne sont pas sanctionnés à la hauteur du danger que ces actes collectifs représentent pour notre démocratie».
« Les déchaînés du mur des cons et leurs partenaires leur reprochent donc d'avoir acté leur liberté de penser syndicale, leur liberté de penser le fait et l'individu politique avec humour dans un local privé ! N'a-t-on donc plus le droit en France d'avoir de l'humour ? », demande la CGT.
« Après la criminalisation de l'action syndicale, après le rejet inacceptable du texte d'amnistie, nous sommes contraints de constater que la liberté de penser dans un lieu privé devient criminel », affirme la CGT. En revanche, la CGT estime que « les propos et discours homophobes entendus ces derniers temps, les appels indirects à la haine ou les menaces de guerre civile de la part de responsables politiques, associatifs, religieux ne sont pas sanctionnés à la hauteur du danger que ces actes collectifs représentent pour notre démocratie».
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