Six techniciens de la société multinationale Schindler en
Corse-du-sud poursuivent leur grève. Ils revendiquent l'obtention d'une
prime d'insularité pour compenser la chèrté de la vie sur l'île.En ïle
de France, leurs collègues ont obtenu une prime comparable.
- Par Jean Crozier
- Publié le 16/05/2014 | 08:35, mis à jour le 16/05/2014 | 08:35
© FTViastella
Ajaccio, le 15 mai 2014
Les salariés ont cessé le travail le 22 avril suite à un mouvement national chez Schindler France
pour les négociations annuelles obligatoires sur les salaires. Depuis
cette date, ils réclament une prime, comme celle obtenue en région
parisienne, que le groupe refuse à ses employés en Corse.
Actuellement, en Corse du sud, un seul employé assure les urgences sur plus de 500 ascenseurs de la marque dont certains sont installés dans des hopitaux ou dans les maisons de retraites.
Dans la zone industrielle de Baleone à Sarrola Carcopino en Corse-du-sud, les salariés de la multinationale Schlinder , en grève depuis le 22 avril dernier s'expliquent dans un communiqué de l'union départementale CGT de Corse-du-sud : "les salarié de la région parisienne ont obtenu une prime pour compenser le coût des loyer en Île de France.
Les personnels corses se sont vus refuser la prime d’insularité qu’ils réclament depuis 2011.
Actuellement, en Corse du sud, un seul employé assure les urgences sur plus de 500 ascenseurs de la marque dont certains sont installés dans des hopitaux ou dans les maisons de retraites.
Dans la zone industrielle de Baleone à Sarrola Carcopino en Corse-du-sud, les salariés de la multinationale Schlinder , en grève depuis le 22 avril dernier s'expliquent dans un communiqué de l'union départementale CGT de Corse-du-sud : "les salarié de la région parisienne ont obtenu une prime pour compenser le coût des loyer en Île de France.
Les personnels corses se sont vus refuser la prime d’insularité qu’ils réclament depuis 2011.
Le groupe depuis cette date affirme qu’aucune prime régionale n’est accordée chez Schindler.
Fort de cette contradiction et de la réalité de la perte de pouvoir d’achat que subissent les Corses au regard du coût de la vie, des carburants, des loyers, les salariés ont décidé d’agir".
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