mardi 8 décembre 2009


COMPORTEMENT de SALAUDS
Ça continue de plus belle…..

Depuis le début de l’année, voici comment ce comportent nos directions avec ses salariés :


En région Alpes :
Licencié car soupçonné de ne pas avoir contrôlé un niveau d’huile
Licencié pour avoir utilisé son véhicule hors des ses heures de travail
Licencié pour défaut de permis de conduire
Licencié pour défaut de port des gants dans un hall d’escalier
En région Centre :
Licenciée pour des retards et soupçonnée d’avoir utilisé des frais postaux à titre personnel
A Vélizy :
Licenciée pour insuffisance professionnelle avec 30 ans d’ancienneté pour, notamment ne pas avoir réservé l’hôtel et le train que préfère son responsable.
En Ile-de-France :
Licencié parce qu’il n’avait pas ses chaussures de sécurité au centre de formation et…a mal parlé à l’animateur.
Licencié pour n’avoir pas utilisé de différentiel 30 mA et les lunettes de protection pour …percer un toit de cabine.
A Nantes :
Licencié pour un limiteur défectueux un an après son remplacement
Au STC : licencié car soupçonné d’avoir consommé de l’alcool.
Marseille : mise a pied conservatoire pour faute grave ?
Corse : mise a pied conservatoire pour faute grave ?

C’en est assez de leurs méthodes de dictateurs, de règne par la peur ,la terreur, le bâton et la carotte !!!!

Nous vous rappelons que leur objectif est la suppression de 400 emplois productifs d’ici 2010 soit environ 40 par an (la réduction des frais de Strucos, frais de personnel administratif étant aussi a l’ordre du jour) ils sont en train de se donner les moyens d’y arriver et voir mieux.

Pas question pour eux de faire un plan social trop coûteux auquel la CGT s’opposerait farouchement.

Car Schindler n’est plus, si tant est qu’elle eût été cette soi-disant entreprise paternaliste ou notre hiérarchie nous apportait toute son attention. Cette entreprise n’existe que pour satisfaire l’appétit féroce des ses actionnaires, et aucunes méthodes pour arriver à leurs fins ne sera écartées.

Nous ne pouvons plus rester les bras croisés sans agir. Que les salariés se croyant à l’abri d’une quelconque attention de bienveillance ne se fassent pas trop d’illusion, car si ils doivent frapper, ils frapperons…….seuls nous sommes vulnérables, unis devant l’adversité nous serons plus forts.

Imposons notre vision de l’entreprise, de son fonctionnement, du partage de ses richesses, sans nous ils ne sont RIEN, notre travail crée leur richesse et doit aussi créer notre bien-être et non notre détresse.

Des actions Nationales sont en cours d’études, il faut frapper fort, que nos actes soient entendus de tous aussi bien des médias, syndics, collectivités locales ou institutions, afin de faire plier nos dirigeants pour qu’ils respectent nos droits et leurs obligations envers les salariés de l’entreprise.

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